Les chansons des Lions
- Aymeric de Versaillis
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- Localisation : Le Mans
Les chansons des Lions
Voici un topic réservé à la mise en page des chansons de l'ADLA (j'ai pensé que c'était indispensable, enfin je me comprend). Y a plus qu'à les retranscrire.
A toi de jouer Geo !
A toi de jouer Geo !
Aymeric de Versaillis, membre de l'Ordre Trijambiste.
Re: Les chansons des Lions
A boire
C’est une chanson à boire, un chant pour nos compagnons (bis)
Une chanson à la gloire de c’qui rempli nos verres.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
Et si vous voulez nous plaire, venez avec un cruchon (bis)
D’hypocras ou de clairet ou même de la bière.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
De merlot, de muscadet, de martini ou de bourbon (bis)
De bordeaux, de beaujolais ou le Saumur qu’on aime.
Chante, chante, lève ton verre
Pour le coteau du layon (bis)
Si un jour nous prend la crève, alors ce jour nous boirons (bis)
Du whyslot, du pastakras, les deux dans le même verre.
Chante, chante, lève ton verre
C’est eux qui nous guériront (bis)
Si tu as peur de la guerre écoute bien la leçon (bis)
Oublis tout et bois un coup, vas y la gueule en l’air.
Chante, chante, lève ton verre
Pour la guerre des pochetrons (bis)
Et que tu sois mercenaire, gratte latrines ou forgeron (bis)
Grand seigneur ou marmiton, on boit tous les mêmes verres.
Chante, chante, lève ton verre
On a tous les mêmes galons (bis)
Quand viendra l’heure dernière, que nos yeux se fermeront (bis)
Dans un tonneau de bon vin je veux qu’on nous conserve.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’éternité des Lions (bis)
Tout au fond du cimetière on entendra la chanson (bis)
De l’Alliance et de ces Lions nageant vers la lumière.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
C’est une chanson à boire, un chant pour nos compagnons (bis)
Une chanson à la gloire de c’qui rempli nos verres.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
Et si vous voulez nous plaire, venez avec un cruchon (bis)
D’hypocras ou de clairet ou même de la bière.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
De merlot, de muscadet, de martini ou de bourbon (bis)
De bordeaux, de beaujolais ou le Saumur qu’on aime.
Chante, chante, lève ton verre
Pour le coteau du layon (bis)
Si un jour nous prend la crève, alors ce jour nous boirons (bis)
Du whyslot, du pastakras, les deux dans le même verre.
Chante, chante, lève ton verre
C’est eux qui nous guériront (bis)
Si tu as peur de la guerre écoute bien la leçon (bis)
Oublis tout et bois un coup, vas y la gueule en l’air.
Chante, chante, lève ton verre
Pour la guerre des pochetrons (bis)
Et que tu sois mercenaire, gratte latrines ou forgeron (bis)
Grand seigneur ou marmiton, on boit tous les mêmes verres.
Chante, chante, lève ton verre
On a tous les mêmes galons (bis)
Quand viendra l’heure dernière, que nos yeux se fermeront (bis)
Dans un tonneau de bon vin je veux qu’on nous conserve.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’éternité des Lions (bis)
Tout au fond du cimetière on entendra la chanson (bis)
De l’Alliance et de ces Lions nageant vers la lumière.
Chante, chante, lève ton verre
Pour l’Alliance et pour les Lions (bis)
Re: Les chansons des Lions
Canon
C’est le vent de la nuit qui fait danser les flammes,
C’est le vent qui conduit baladins et tziganes,
Libre comme le vent que s’envole mon âme,
Emportée par le vent que s’envole mon chant.
C’est le vent de la nuit qui fait danser les flammes,
Quand les lions sont unis sous un même oriflamme,
C’est l’anglais qui s’enfuit à la vue de leurs armes,
Quand ils montrent les dents et que monte leur chant.
Et quand tombe la nuit, qu’ils retrouvent leurs femmes,
Quand ils se mettent au lit succombant à leurs charmes,
A leurs rugissements on pourrai croire au drame,
Quand ils montrent les dents et que monte leur chant.
C’est le vent de la nuit qui fait danser les flammes,
C’est le vent qui conduit baladins et tziganes,
Libre comme le vent que s’envole mon âme,
Emportée par le vent que s’envole mon chant.
C’est le vent de la nuit qui fait danser les flammes,
Quand les lions sont unis sous un même oriflamme,
C’est l’anglais qui s’enfuit à la vue de leurs armes,
Quand ils montrent les dents et que monte leur chant.
Et quand tombe la nuit, qu’ils retrouvent leurs femmes,
Quand ils se mettent au lit succombant à leurs charmes,
A leurs rugissements on pourrai croire au drame,
Quand ils montrent les dents et que monte leur chant.
Re: Les chansons des Lions
Chantez pour eux
Chantez pour ceux qui partagent ce camp,
Qui partagent ce feu, sous la lune qui danse,
Chantez pour ceux qui forment cette alliance
Et qui vivent une France d’un autre temps.
Chantez pour elle, préparant la pitance,
Donnant à ses amis de quoi s’emplir la panse,
Chantez pour elle qui attend patiemment,
Brodant au coin du feu, son tendre amour qui rentre.
Chantez pour celles qui soignent nos blessures
Et qui, dans un murmure, consolent nos tristesses,
Chantez pour les femmes, les hommes de ce camp
Qui autour de la flamme partagent un moment.
Chantez pour lui qui tape sur sa forge
Martelant des épées et autres tranche gorges,
Chantez pour lui qui revient de la guerre
Et retrouve son frère pour trinquer avec lui.
Chantez pour ceux qui ont la rage au ventre
Et le cœur en attente de rêve et de romance,
Chantez pour ceux qui, au cœur de la tourmente,
Se battent pour la France et versent leur sang.
Chantez pour lui, le seigneur en armure,
Qui porte l’aventure aux quatre coins du monde,
Chantez pour lui, qui se bat vaillamment,
Chantez pour nos enfants et nos frères qui tombent.
Chantez pour les gueux, les pieds dans la poussière,
Les mendiants, les lépreux et les traînes misère,
Chantez les trouvères, conteurs et baladins
Qui vont jouer leurs airs sur les chemins.
Chantez l’Alliance et ses joyeux compagnons,
Qui vivent au nom des Lions le rêve de leur enfance,
Chantons la France et montrons comme nous l’aimons
En vivant son histoire au temps de sa puissance.
Chantez pour nous et pour notre espérance
Et pour que notre alliance ne dure pas qu’un temps,
Chantez pour eux, sous la lune qui danse,
Qui partagent ce feu et notre camp.
Chantez pour ceux qui partagent ce camp,
Qui partagent ce feu, sous la lune qui danse,
Chantez pour ceux qui forment cette alliance
Et qui vivent une France d’un autre temps.
Chantez pour elle, préparant la pitance,
Donnant à ses amis de quoi s’emplir la panse,
Chantez pour elle qui attend patiemment,
Brodant au coin du feu, son tendre amour qui rentre.
Chantez pour celles qui soignent nos blessures
Et qui, dans un murmure, consolent nos tristesses,
Chantez pour les femmes, les hommes de ce camp
Qui autour de la flamme partagent un moment.
Chantez pour lui qui tape sur sa forge
Martelant des épées et autres tranche gorges,
Chantez pour lui qui revient de la guerre
Et retrouve son frère pour trinquer avec lui.
Chantez pour ceux qui ont la rage au ventre
Et le cœur en attente de rêve et de romance,
Chantez pour ceux qui, au cœur de la tourmente,
Se battent pour la France et versent leur sang.
Chantez pour lui, le seigneur en armure,
Qui porte l’aventure aux quatre coins du monde,
Chantez pour lui, qui se bat vaillamment,
Chantez pour nos enfants et nos frères qui tombent.
Chantez pour les gueux, les pieds dans la poussière,
Les mendiants, les lépreux et les traînes misère,
Chantez les trouvères, conteurs et baladins
Qui vont jouer leurs airs sur les chemins.
Chantez l’Alliance et ses joyeux compagnons,
Qui vivent au nom des Lions le rêve de leur enfance,
Chantons la France et montrons comme nous l’aimons
En vivant son histoire au temps de sa puissance.
Chantez pour nous et pour notre espérance
Et pour que notre alliance ne dure pas qu’un temps,
Chantez pour eux, sous la lune qui danse,
Qui partagent ce feu et notre camp.
Re: Les chansons des Lions
A.D.L.A
Monter un camp dans le vent, sous la pluie,
Pour vivre dedans trois jours et deux nuits
Juste une paillasse en guise de lit
Et d’l’hypocras pour noyer sa folie.
Et s’réveiller la gueule enfarinée,
Les yeux plissés, décoiffé, mal rasé,
Une tranche de lard, un œuf, un café,
Et la journée ne fait que commencer ;
Le médiéval qu’est ce que ça fait rêver.
A D L A c’est la fierté
D’une bande de gars qui jouent aux chevaliers
Dans les combats ou autour d’un verre
A D L A ça veut dire qu’ils sont frères.
Tous ces furieux qui s’prennent pour des seigneurs,
Pour des guerriers de l’Anjou ou d’ailleurs,
Quand ils se battent, c’est pour leurs couleurs,
Quand ils s’éclatent ça peut faire un peu peur.
Et même s’ils n’ont jamais gagné la guerre,
S’ils sont meilleurs pochetrons que militaires,
Ils sont tous rois à leur manière,
De la tristesse ils sont toujours vainqueurs
Et comme copains j’en connais pas de meilleur.
A D L A c’est la fierté
D’une bande de gars qui jouent aux chevaliers
Dans les combats ou autour d’un verre
A D L A ça veut dire qu’ils sont frères.
Monter un camp dans le vent, sous la pluie,
Pour vivre dedans trois jours et deux nuits
Juste une paillasse en guise de lit
Et d’l’hypocras pour noyer sa folie.
Et s’réveiller la gueule enfarinée,
Les yeux plissés, décoiffé, mal rasé,
Une tranche de lard, un œuf, un café,
Et la journée ne fait que commencer ;
Le médiéval qu’est ce que ça fait rêver.
A D L A c’est la fierté
D’une bande de gars qui jouent aux chevaliers
Dans les combats ou autour d’un verre
A D L A ça veut dire qu’ils sont frères.
Tous ces furieux qui s’prennent pour des seigneurs,
Pour des guerriers de l’Anjou ou d’ailleurs,
Quand ils se battent, c’est pour leurs couleurs,
Quand ils s’éclatent ça peut faire un peu peur.
Et même s’ils n’ont jamais gagné la guerre,
S’ils sont meilleurs pochetrons que militaires,
Ils sont tous rois à leur manière,
De la tristesse ils sont toujours vainqueurs
Et comme copains j’en connais pas de meilleur.
A D L A c’est la fierté
D’une bande de gars qui jouent aux chevaliers
Dans les combats ou autour d’un verre
A D L A ça veut dire qu’ils sont frères.
Re: Les chansons des Lions
Qui veut chasser une migraine
Qui veut chasser une migraine
N'a qu'à boire toujours du bon
Et maintenir la table pleine
De cervelas et de jambon.
R/ L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons (bis)
Le vin goûté à ce bon père
Qui s'en rendit si bon garçon
Nous fait discourir sans grammaire
Et nous rend savant sans leçon.
R/
Loth, buvant dans une taverne
De ses deux filles enfla le sein
Montrant qu'un sirop de taverne
Passe celui d'un médecin.
R/
Buvons donc tous à la bonne heure
Pour nous émouvoir le rognon
Et que celui d'entre nous meurt
Qui dédira son compagnon.
R/
Qui veut chasser une migraine
N'a qu'à boire toujours du bon
Et maintenir la table pleine
De cervelas et de jambon.
R/ L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons (bis)
Le vin goûté à ce bon père
Qui s'en rendit si bon garçon
Nous fait discourir sans grammaire
Et nous rend savant sans leçon.
R/
Loth, buvant dans une taverne
De ses deux filles enfla le sein
Montrant qu'un sirop de taverne
Passe celui d'un médecin.
R/
Buvons donc tous à la bonne heure
Pour nous émouvoir le rognon
Et que celui d'entre nous meurt
Qui dédira son compagnon.
R/
-
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- Inscription : 16 septembre 2009, 23:27
Re: Les chansons des Lions
Ouaaaaaaaais!
Cher Prezestrel, pourrais tu aussi ajouter le titre de la chanson d'origine pour celle où tu as utilisé l'air d'une chanson connue? STP!
Cher Prezestrel, pourrais tu aussi ajouter le titre de la chanson d'origine pour celle où tu as utilisé l'air d'une chanson connue? STP!
- Aymeric de Versaillis
- Messages : 569
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- Localisation : Le Mans
Re: Les chansons des Lions
La Masse à Ailettes !!!
Aymeric de Versaillis, membre de l'Ordre Trijambiste.
-
- Messages : 176
- Inscription : 16 septembre 2009, 23:27
Re: Les chansons des Lions
La Marche des Lions (Cote-de-Bœuf/Frédérique)
Près de la Loire on a grandi
Depuis tout jeune on prend des gnons
L'acier tranchant c'est notre vie
Et nos loisirs c'est la BASTON
Colin l’Bourrin était bien ravagé
Dans l’huile de lin il se baignait
C'est a quatre ans, qu’avec son hochet
Il avait tué son premier anglais
Quentin le rustre n’était pas bien massif
Mais forgeait les plates à mains nues
Par phrase, il usait de 3 possessifs
Mon, mien, ma, mes, tout lui était dû
C'est en marchant dans les entrailles
Qu’les Lions d’Anjou vont à l'assaut
Et par le fer, le feu et la mitraille
Tailler la chair et broyer les os
Brise-Doigt le Haut était l’roi du gouffiot
Il cassait les lames en rotant
Ses ennemis terminaient tous manchots
Et il les finissait avec les dents
Geoffroy l’Vivace ne tenait pas en place
Par mont, par vaux et par baquet
De la chanson salace il composait
A la gloire des Lions et d’une certaine masse
REFRAIN
Balian le Jeune devait encore grandir
Il posait beaucoup de questions
Et bien sûr il s’faisait pourrir
Réfléchir n’était pas très utile aux Lions!
Sir Uldéric était un incompris
Quand il l’ouvrait c’est pour gueuler
Il frappait aussi bien sur ses amis
Mais c’est pas grave on lui rendait
REFRAIN
Aym’ric le bien nommé Sir J'-Me-La-Pète
Tortillait du fion en marchant
Pourtant il n’avait même pas une fourchette
C’est en merde qu’il dépensait tout son pognon
Côte-de-Bœuf lui n’était qu’un ventre
Il pillait toutes nos provisions
A lui seul il bouffait comme trente
3 fois son poids par jour en viande de cochon
Barbiche l’Berserk n’était vraiment pas fin
Il f’sait toujours peur aux gamins
Il se coiffait à grand coup de corbin
En même temps dessous y avait plus rien
REFRAIN
Les couplets pour les mecs sont faits...il manque à présent ceux sur les nanas. Si tu ya des suggestions ou des idées pour ces dames, on est preneur.
Près de la Loire on a grandi
Depuis tout jeune on prend des gnons
L'acier tranchant c'est notre vie
Et nos loisirs c'est la BASTON
Colin l’Bourrin était bien ravagé
Dans l’huile de lin il se baignait
C'est a quatre ans, qu’avec son hochet
Il avait tué son premier anglais
Quentin le rustre n’était pas bien massif
Mais forgeait les plates à mains nues
Par phrase, il usait de 3 possessifs
Mon, mien, ma, mes, tout lui était dû
C'est en marchant dans les entrailles
Qu’les Lions d’Anjou vont à l'assaut
Et par le fer, le feu et la mitraille
Tailler la chair et broyer les os
Brise-Doigt le Haut était l’roi du gouffiot
Il cassait les lames en rotant
Ses ennemis terminaient tous manchots
Et il les finissait avec les dents
Geoffroy l’Vivace ne tenait pas en place
Par mont, par vaux et par baquet
De la chanson salace il composait
A la gloire des Lions et d’une certaine masse
REFRAIN
Balian le Jeune devait encore grandir
Il posait beaucoup de questions
Et bien sûr il s’faisait pourrir
Réfléchir n’était pas très utile aux Lions!
Sir Uldéric était un incompris
Quand il l’ouvrait c’est pour gueuler
Il frappait aussi bien sur ses amis
Mais c’est pas grave on lui rendait
REFRAIN
Aym’ric le bien nommé Sir J'-Me-La-Pète
Tortillait du fion en marchant
Pourtant il n’avait même pas une fourchette
C’est en merde qu’il dépensait tout son pognon
Côte-de-Bœuf lui n’était qu’un ventre
Il pillait toutes nos provisions
A lui seul il bouffait comme trente
3 fois son poids par jour en viande de cochon
Barbiche l’Berserk n’était vraiment pas fin
Il f’sait toujours peur aux gamins
Il se coiffait à grand coup de corbin
En même temps dessous y avait plus rien
REFRAIN
Les couplets pour les mecs sont faits...il manque à présent ceux sur les nanas. Si tu ya des suggestions ou des idées pour ces dames, on est preneur.
Re: Les chansons des Lions
Enfin, la voila:
La masse à ailettes
Me baladant dans l’bois avec mon copain Goustan,
Voilà que j’tombe sur quoi, sur le sentier devant,
Un long machin tout dur, fait d’acier et de bois,
Goustan me dit : c’est sûr, ce truc-là, il est pour toi.
Par quel bout ça se prend ? Qu’est-ce que ça peut bien être ?
Attends me dit Goustan, c’est une masse à ailettes.
Une masse à qui ? Que j’dis, c’est une masse à quoi ?
A ailettes abruti, prends-la et tu comprendras.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
J’lui dis à quoi ça sert, c’est trop petit pour une canne,
Trop gros pour une cuillère, trop lourd pour un calame.
Il m’dit : c’est pour faire mal, faut frapper sur la tête.
Alors je prends mon arme et lui tape dessus avec.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
J’ai tué le Goustan, je lui ai fendu le crâne,
L’est moins cruel maintenant, il fera plus peur aux femmes.
Une longue histoire commence, une histoire d’amourette.
Contre mon cœur balance cette chère masse à ailettes.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Après avoir fêlé trois crânes et deux tibias,
De sentier en sentier, me voilà devant chez moi.
Crevé, je pose la masse et je monte me coucher,
M’affale sur ma paillasse et je commence à rêver.
A un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Ma femme a vu la masse, elle l’a prise pour un jouet.
Si bien que là où je pense elle se l’est enfilée.
L’aller s’est bien passé, le retour l’a tuée.
Fallait pas prendre mon jouet, celui-là, il fait pas les bébés.
C’est un joujou long et dur,
Ca c’est mon machin, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Si un jour vous trouvez un long machin tout dur
Fait de bois et d’acier, alors, soyez-en sûrs.
Faudra vous protéger, pour les garçons la tête,
Et les filles esseulées, faire bien gaffe à leur minette.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
C’est vrai que j’me la pète.
La masse à ailettes
Me baladant dans l’bois avec mon copain Goustan,
Voilà que j’tombe sur quoi, sur le sentier devant,
Un long machin tout dur, fait d’acier et de bois,
Goustan me dit : c’est sûr, ce truc-là, il est pour toi.
Par quel bout ça se prend ? Qu’est-ce que ça peut bien être ?
Attends me dit Goustan, c’est une masse à ailettes.
Une masse à qui ? Que j’dis, c’est une masse à quoi ?
A ailettes abruti, prends-la et tu comprendras.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
J’lui dis à quoi ça sert, c’est trop petit pour une canne,
Trop gros pour une cuillère, trop lourd pour un calame.
Il m’dit : c’est pour faire mal, faut frapper sur la tête.
Alors je prends mon arme et lui tape dessus avec.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
J’ai tué le Goustan, je lui ai fendu le crâne,
L’est moins cruel maintenant, il fera plus peur aux femmes.
Une longue histoire commence, une histoire d’amourette.
Contre mon cœur balance cette chère masse à ailettes.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Après avoir fêlé trois crânes et deux tibias,
De sentier en sentier, me voilà devant chez moi.
Crevé, je pose la masse et je monte me coucher,
M’affale sur ma paillasse et je commence à rêver.
A un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Ma femme a vu la masse, elle l’a prise pour un jouet.
Si bien que là où je pense elle se l’est enfilée.
L’aller s’est bien passé, le retour l’a tuée.
Fallait pas prendre mon jouet, celui-là, il fait pas les bébés.
C’est un joujou long et dur,
Ca c’est mon machin, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
Si un jour vous trouvez un long machin tout dur
Fait de bois et d’acier, alors, soyez-en sûrs.
Faudra vous protéger, pour les garçons la tête,
Et les filles esseulées, faire bien gaffe à leur minette.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
Ce sont les crânes qui pètent.
C’est un machin long et dur,
Ca c’est mon joujou, c’est sûr.
Avec ma belle masse à ailettes
C’est vrai que j’me la pète.